LES PASSEREAUX

Autour de la création de Je mourron ben sans qu'on nous tue d'après les oeuvres de Gaston Couté, la compagnie Les Passereaux propose un cycle d'ateliers de découverte de l'oeuvre de Gaston Couté.

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Diffusion du film de Pascal Boucher "Bernard, ni Dieu ni chaussettes" sur Bernard Gainier, l'un des derniers "diseurs" de Gaston Couté. Bernard, ni dieu ni chaussettes est un documentaire qui rend hommage à une paysannerie en voie de disparition et au poète Gaston Couté (1881-1911), injustement oublié des anthologies de poésie. Pascal Boucher voulait réaliser un documentaire sur ce poète libertaire et pacifiste du début du siècle dernier qui connut son heure de gloire dans les cabarets de Montmartre. Lors de ses recherches, il a rencontré Bernard Gainier, un vigneron atypique de Meung-sur-Loire, ville d’enfance de Couté, aux idées anarchistes et diseur - en patois beauceron - des textes du poète. Le réalisateur s’est alors décidé à réaliser un portrait de Bernard avec en filigrane l’ombre bienveillante du poète.

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Diffusion suivi d'un débat animé par Suzanne Tandé, metteur en scène du spectacle "Je mourron ben sans qu'on nous tue"

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Débat à l'issu d'une répétition publique ou d'une représentation animé par Suzanne Tandé, Francis Jauvain et Ariane Derain, chorégraphe du spectacle.