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Co-Production

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JE MOURRON BEN SANS QU'ON NOUS TUE

 

GASTON COUTÉ

Jeu et mise en scène : Suzanne Tandé

Chorégraphie : Ariane Derain

Jeu et arrangements : Francis Jauvain

D'après des musique originales de :

Francis Jauvain, Gérard Pierron, Emmanuelle Pariselle

La Tordue, Marcel Legay, Marc Robine

Avec l'aimable participation de

Laurent Martial

Crédit photos Laurent Martial

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CRÉATION 2021/2022 — Note d’intention

Voilà cent ans que Gaston Couté se dit et se chante dans les granges et les petites salles de France. Plus d’un aura ressenti, dans la chaleur intime de ces réunions, la force unique et la portée — toujours brûlante d’actualité — de ses textes. En français ou en patois de la Beauce, Couté dépeint avec superbe et acuité le monde qui l’entoure, donnant la part belle aux petites gens, oubliés de l’Histoire.

Les chansons de Gaston Couté, mises en musique par Gérard Pierron, ont bercé mon enfance ; et dès l’instant que j’ai été en mesure de les apprendre je n’ai eu de cesse de les colporter, en tout milieu et en toute occasion.

Comédienne et chanteuse, je voudrais aujourd’hui faire danser quelques-unes des figures qu’il évoque et que vive le parler savoureux et âpre de ce terrien plein de sève et d’amour, à l’humour incisif, percutant.

Francis Jauvain, brillant accordiniste, saxophoniste et accordéoniste est de ceux qui ont longtemps mené Couté « par monts, par viaux ». Il en connaît toutes les subtilités et déploie pour l’occasion sa palette musicale avec un appétit intact.

Au-delà des genres (théâtre musical ? chorégraphie

parlée/chantée ?) l’essentiel est pour moi d’œuvrer à une narration poétique où gestes et musiques racontent, personnages et idées surgissent et s’évanouissent dans l’apparition des suivants. Telle une ode au commun de notre condition humaine…

Bref, il s’agit pour nous d’ouvrir un espace inventif à cette poésie, qui sache refléter de façon sensible ce monde où nous vivons.

Il y a cent ans, dans la fougue de sa jeunesse, Couté nous disait déjà les causes imbéciles des grimaces de notre humanité malade et nous donnait les clés d’un bonheur simple, à reconquérir sans lâchetés.

Sortir Couté de la confidentialité, le frotter aux oreilles d’aujourd’hui. Voilà ce qui nous tente.

Couté parle de combats encore actuels. Couté nous parle. Il est juste et vibrant, sa poésie, vivante et puissante.

Et fasse que d’autres, après nous, la portent et la colportent !...

Suzanne Tandé

Dossier de présentation

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